Lettres.

Cher ami,

Je pense que vous ne recevrez cette lettre que dans deux semaines, car le bateau ne repart que dans sept jours, et avec la tempête qui sévit souvent en cette saison, il mettra sûrement une autre semaine, pour faire la traversée, et vous faire parvenir ce message.
Nous sommes enfin arrivés en Tyrie. Lazare, mon fidèle compagnon a bien supporté le voyage en mer. Bien mieux que moi, semble t'il, j'ai été vraiment heureuse lorsque j'ai pu enfin poser le pied sur la terre ferme.
Il nous reste encore 2 jours à pied, à travers les hauts plateaux, pour rejoindre la frontière orientale du Royaume d'Ascalon.

Je sais que mon départ vous a beaucoup surpris. Mais le message que nous a envoyé Ralena a semé le trouble dans mon esprit. Si effectivement le peuple auquel je suis liée par le sang est en danger... Je ne sais où vont vraiment mes allégeances, vous le savez. Ceux que je considère comme mes parents sont les votres aussi, et je n'ai pas grandi ici, je ne connais pas ce pays... Je sais cela. Mais en dépit de tout, j'ai la certitude, l'intuition si vous préférez, que mon destin est ici, en Tyrie, où je suis née, et où des gens m'ont sauvé pour me confier à votre famille.
J'ai une dette de sang envers ce monde, en quelque sorte.
J'espère, qu'avec le temps, vous comprendrez ma décision.

Dans la ville du Port du Levant, où nous avons passé la nuit, peu de personnes sont au courant de ce qui se passe dans les terres à l'Ouest. Il est vrai qu'il y a plus de commerçants et de navigateurs de notre continent ici, que de véritables Tyriens. J'ai cependant entendu dire, que le roi Adelbern tiendrait bon face aux Charrs, et que le Grand Rempart limiterait la progression de leur invasion. Si cela est vrai, c'est plutôt une bonne nouvelle.
J'ai profité de ma journée d'hier, pour acheter quelques vivres pour notre voyage à pied, et j'ai aussi acheté quelques flèches, ainsi avec Lazare, nous pourrons peut être chasser si nous trouvons du gibier dans les buissons des hauts plateaux, et avoir l'ocasion de mettre en oeuvre, les enseignements que vous m'avez prodigués.

Je tenais à vous faire parvenir ces quelques nouvelles, car je regrette mon départ trop précipité.

ça commence bien vivement la suite
étant un fan du roleplay...rooooh depuis le temps que j'attendais ça!

C est vrai que c etait hyper bien fait, on aurait cru une pro !!
Et moi aussi j attends la suite avec impatience

... mais c' EST 1 pro....

Edit : apres relecture, le "lol" me semble s'appliquer au terme "aurait" (conditionnel) plutot qu'à "pro"... je me suis enflammé...
Mais attention aux sous entendus bizarres... on n'embete pas Iny (mm moi j'ose pas trop le faire... c dire )

Je n'osais pas mettre un post, tellement que la lettre était belle... Elle est pleine de melancholie, comme la réalité.

c'était Themis le poète !
n'oubliez pas les pourboires
ça arrive si rarement...
et je remarque que quelque soit le post certains (que je ne nommerais pas) n'arrivent pas à s'empecher de flooder...
quelle super guilde

on n'embete pas Iny (mm moi j'ose pas trop le faire... c dire )

Depuis quelle a voulu arracher les yeux d'un guerrier un peu ch... énervant durant un drop de l'épée de dragon de glace je me mefie

Je sais pas pour vous mais chuis plutot content que le WE arrive... une nouvelle lettre en perspective (bah voui Iny m'a dit qu'elle en ferait 1 par semaine... )

PS : je ne floode pas, je corrige une remarque désobligeante (je mets ça sur le coup de la fatigue et de la jeunesse... donc pas de sanction cette fois.... mais le prochain qui dit autre chose que "c'est génialissime !" je suprime le post )

Cher ami,

J'ai enfin trouvé quelqu'un qui part vers le Port du Levant, qui transportera cette lettre, et la remettra aux Navigateurs qui font la traversée entre les deux continents. J'espère qu'elle vous parviendra sans encombre.

Comme vous vous en doutez, je suis en Ascalon.

A mon arrivée, il y a deux semaines de cela, je me suis mise en quête de Ralena. Dans la lettre qu'elle nous avait écrite, elle disait vivre en un lieu dénommé "La Place des Fous". Où celà pouvait bien se trouver, je l'ignorais. Les villageois d'Ashford, chez qui je logeais temporairement, ne purent que me raconter qu'il s'agissait d'un lieu-dit reculé et dissimulé dans les Cimes du Sorcier, siège de réunions secrètes d'intriguants et de comploteurs. Ralena, vous le savez, a toujours eu un goût certain pour le mystère. Ils ne purent cependant m'en indiquer la localisation précise, et certains doutaient même que ce lieu existât vraiment. Légende ou mythe, la Place des Fous existe bien, car après maintes explorations, je l'ai finalement trouvée. Et Ralena avec...
Ici, elle est connue sous le nom de "Tempête", ce qui n'est guère différent de celui sous lequel nous la connaissions par chez nous. Il y a si longtemps qu'elle est partie, que je ne l'aurais pas reconnue, si elle ne m'avait reconnue en premier. Sans doute, est-ce parce que, comme vous me le disiez souvent, j'ai su garder mon air enfantin. Elle n'a pas vraiment été surprise de ma décision de la rejoindre en Tyrie. "L'appel du sang...", m'a t'elle dit.
Ses talents magiques ont beaucoup progressé, depuis qu'elle est ici et vous seriez surpris de voir ce dont elle est à présent capable. Elle a promis de m'apprendre, mais je crains de ne pas être une bonne élève.

J'ai installé ma tente à la Place; une vie un peu sauvage me convient mieux que le confort douillet d'Ashford. Et aussi, je pense, c'est mieux pour Lazare.
Je n'aime pas trop les autres résidents de la Place, notamment ce Vassar, un trouble-esprit, que fréquente Ralena. Mais qu'importe...

Une chose m'intrigue depuis que je suis ici : les quelques Ascaloniens que j'ai pu rencontrer (hormis Vassar et Ralena) semblent mener une vie paisible dans l'indifférence, voire même l'inconscience, du péril qui les guette. Une telle confiance me sidère. "Le roi et les murs...", m'a dit Ralena, en guise d'explication. Elle, en revanche, comme vous le savez, ne partage pas cette quiétude populaire et craint que l'un ou l'autre ne soient faillibles, voire même les deux...
Dans la Cité, où nous nous rendrons bientôt, l'imminence de la guerre se fait beaucoup plus ressentir, m'a t'elle assuré. J'ai d'ailleurs hâte que nous nous y rendions, car c'est pour ça que je suis venue, venir en aide à ma patrie de sang et non vivre paisiblement dans les montagnes.

Vous me manquez...
Embrassez nos parents de ma part. M'ont-ils pardonnée d'être partie ?
Je regrette vraiment la peine que mon départ a pu causer.

Sans doute, à bientôt, car j'ai rencontré quelqu'un qui fait le commerce des peaux d'ours avec le Port du Levant et qui s'y rend donc régulièrement, il pourra sûrement faire passer mes missives.

Génialissime....

Dorénavant, le vendredi soir, il faudra faire du GvG en roleplay... obligé

[HS] Ce message s'autodetruira a la prochaine lettre d'Iny..[/HS]

meme chose que sis

Cher ami,

Ascalon est magnifique en ce début de saison du Phenix, les arbres se parent de couleurs de feu et la Cité de pierres blanches brille sous l'éclat du soleil. Et l'on pourrait presque croire que tout va pour le mieux, si ce n'était que la Cité est remplie de jeunes gens venus répondre à l'appel du Roi. Nombre de coeurs courageux et de chair fraiche, plus ou moins prêts à affronter les charrs...

Avec Lazare, nous avons établi notre campement à l'est de la Cité, près du fleuve. Ce qui n'est pas sans déplaire aux créatures reptiliennes de la rivière, les Ecailleux. Les quelques spécimens agressifs, qui se sont approchés d'un peu trop près, ont vite compris que mon compagnon carnivore n'avait rien contre la viande de reptile, bien que celle-ci soit un peu sêche.

Des fiançailles se préparent, et il règne une certaine agitation en ville en plus de celle causée par la menace charr. Les fiançailles du Prince... à ce que j'ai entendu. Je suis surprise de constater qu'un tel événement puisse être le bienvenu en des temps si incertains, pourtant les gens d'Ascalon, semblent y puiser quelque espoir, bien plus que dans les promesses du Roi.

Ralena est repartie dans les montagnes, il y a de cela plusieurs jours. Elle m'a fait cadeau d'un très bel objet : un javelot d'argent, ciselé de runes dont je ne connais pas la signification. Elle prétendait alors, avec un air assez malicieux il faut l'avouer, que je saurais m'en servir. Si elle entendait par là une quelconque utilisation magique, elle se trompait assurément. Il me sera cependant utile, je pense.

A l'instar de mes compatriotes, j'ai été me présenter aux autorités militaires de la Cité, et l'on m'a affecté à la subtile tâche d'éclaireur. Ainsi, j'ai eu de nombreuses fois l'occasion de passer de l'autre côté du rempart, afin de surveiller les différents groupes charrs et leurs déplacements. Mais, comme vous pouvez l'imaginer, eviter le combat m'est une situation pénible.
Il y a toujours comme une ombre au nord, comme si un orage terrible se préparait. J'en ignore la raison, mais c'est un poids qui pèse sur mon âme chaque fois que je l'aperçois.

Voilà près de 3 mois que je suis partie, et je n'avais pas conscience alors que vous me manqueriez autant. Ma décision me coûte. Et pourtant, je sais qu'il est juste que je sois ici, et que vous restiez là-bas.
Le marchand, qui avait porté ma deuxième lettre est tombé malade. Aussi ais-je pris congé quelques jours pour porter, moi même, cette lettre-ci au Port. Cela me permettra de retrouver pour un temps la solitude des grands espaces sauvages, que j'affectionne tant.






Rajouté au verso, d'une écriture plus hésitante...



Il s'est passé une chose étrange et inquiétante. C'etait la fin de l'après-midi, nous marchions depuis le matin vers l'est. Un bruit sourd m'a fait me retourner vers l'horizon de l'ouest, vers Ascalon. Lazare s'est couché sur le sol, et s'est mis à grogner. Et soudain de nombreux éclairs ont traversé le ciel... Combien de temps cela a duré, des heures, des minutes, je ne sais plus... Lorsqu'enfin cela a cessé, un grand silence s'est fait, il n'y avait même plus de vent pour siffler à nos oreilles. Ce qui s'est passé, comment le savoir, sinon, en retournant en Ascalon. J'ai l'intuition qu'il ne peut s'agir d'un phénomène naturel, et je vais me hâter de confier ce message aux Navigateurs, pour repartir le plus rapidement possible. Je suis très inquiète. Depuis, une ombre semble recouvrir la terre à l'Ouest et s'étendre en toutes directions, cachant les étoiles...

et encoreu bravo
iny, faut dire merci aux microbes

Cher ami,

Ce que j'ai à vous raconter est terrifiant. Ascalon, tel que nos parents l'ont connus et tel que je l'ai connu moi-même il y a plus de 6 mois, n'existe plus.
Une ombre perpétuelle recouvre les terres. Il n'y a plus ni villages, ni Cité, ni lieux sacrés, ni autres constructions humaines encore debout. Rien que des ruines et des terres stériles. Tout a été anéanti lors de ce jour maudit que les survivants ont appelés la Fournaise. Ce jour, où dans les haut-plateaux j'ai aperçu des éclairs, les charrs ont déployé une puissance magique jusque là inconnue des hommes. Ils ont passé le rempart, et se sont dirigés vers le Sud, tuant et ravageant ... Vers le Sud, vers le royaume humain d'Orr, sans doute pour l'anéantir lui aussi. Lorsque je suis enfin revenue, c'est une terre dévastée et désolée que j'ai trouvé.
Je tente depuis des mois de venir en aide à ceux qui ont survécu, mais ils ont tout perdu, maison, famille, amis... et souvent avec la raison et le désir de vivre. Les gens résolus sont trop peu nombreux et trop dispersés.
Comble de tout, j'ignore où est notre amie, et si elle vit encore. J'ai l'intuition que oui, pourtant mes recherches jusqu'ici ont été vaines. Que trouver dans ces ruines, mis à part le désespoir ?
Que suis-je venue faire ici ?
"Vivre ou mourir en même temps que ce monde" n'est-ce point ce que je vous avais dit ? L'ironie semble vouloir que ce monde meurre et que je reste, moi, vivante pour le voir agoniser.
Vous disiez qu'une seule personne peut changer le destin d'un peuple entier... Qui suis-je, moi, pour vous avoir cru et être partie ? Pour qui me suis-je prise ? Que peut une simple personne face à la destruction massive et à la désolation ? Que reste t'il à sauver ?
Ce serait cependant encore plus terrible que je reparte maintenant, que je quitte ce continent, après avoir vu tout cela... Non, je resterais, je retrouverais Ralena. Et, si cela est possible nous trouverons et nous rejoindrons ceux qui désirent encore se battre. Si cela est possible... Cela devra être possible, car il n'y a nulle autre alternative. Du moins, je n'en vois pas. Peut être y-a-t'il une chance que Rin, la capitale, subsiste toujours, et que le Roi et le Prince y soient encore ?
L'autre jour, par une chance extraordinaire, je suis tombée sur le marchand à qui j'avais confié auparavant mon courrier. Il a l'intention de repartir vers l'Est, définitivement... car comme tous ici, il a tout perdu. Il transportera ce message.

Au revoir, adieu peut-être, car je ne sais si j'aurais jamais d'autres occasions de vous écrire ou si même je survivrais aux jours à venir.

Oups! J'ai oublié mon carnet d'écriture à l'appart' en partant cet après-midi.


Pas de lettre ce week-end!

(Mais pit'être dans la semaine prochaine!)

Cher ami,

Beaucoup de mois ont passés depuis ma dernière lettre. Ne reçevant plus de nouvelles, vous avez du me croire morte... J'ai été pendant tout ce temps à la recherche de notre amie. Je ne pouvais me résoudre à renoncer.
Le monde de décombres, qu'est à présent Ascalon, est devenu hostile. Les dévoreurs, les gargouilles, les élémentaires et les aloes, autrefois inoffensifs, ont reconquis les lieux délaissés par la présence des hommes. Les Grawls ont définitivement envahis Ashford et la vallée du Régent. L'Ascalon des hommes n'existe plus. Ces terres, désormais, ont de nouveaux maîtres, et l'on ne peut aller nulle part sans devoir les combattre. Ainsi, j'ai pu constater le réel et étrange pouvoir du cadeau de Ralena. Ce que je n'ai pu déterminer, c'est s'il s'agissait de quelque chose d'intrinsèque à l'objet ou d'un effectif talent dont je disposerais..., mais il est surprenant de constater que la Foudre frappe toujours ce qui en est transperçé... Peut-être suis-je, ainsi que vous le redoutiez, une magicienne moi aussi ? Peut-être est ce l'héritage de cette terre ? J'en sais si peu sur mes origines... et ni vous, ni nos parents ne m'en parliez jamais... Mais qu'importe vos obscures raisons, c'est là un débat que nous n'aurons plus l'occasion de disputer.

Il y a de cela vingt jours, si on peut vraiment appeler cela des jours, car jamais le soleil ne se lève plus ni ne se couche, j'ai traversé les ruines d'Ashford, et j'ai rencontré dans les vestiges de l'ancienne abbaye, un groupe de survivants assez organisés, et parmi lesquels ce Vassar dont je vous ai parlé, l'ami de notre Ralena. Ils ont "sécurisé" le lieu, à ce qu'il disent, afin qu'ils servent de refuge à ceux qui errent au Sud du Rempart. Et l'ont rebaptisé "Sanatorium de Sardelac". Quel sinistre nom...
Vassar m'a assuré que Ralena était vivante. Elle serait partie vers l'ancien Fort : Ranik, avec tout un groupe, car ils ont des nouvelles de Rin depuis quelques semaines. D'après eux, le roi résisterait à l'assaut charr dans la capitale, campé dans une position défensive. Le Prince, quant à lui, a crée un regroupement armé indépendant : l'Avant-Garde, ainsi qu'il le nomme, et lui a donné un objectif de reconquête. C'est là, bien sûr, une ambition inconsidérée, mais avons-nous réelement d'autres choix ?
J'irais dès demain les rejoindre, au campement installé, il parait, dans l'ancienne Cité.

J'ai proposé à Vassar, d'envoyer quelqu'un au Port du Levant, chercher des vivres pour le Sanatorium. Je n'ai d'autre choix que de lui faire confiance et de lui remettre cette lettre. Puisse t'elle faire le voyage escompté...

Cher ami,

Mon coeur est en peine, et le votre, quand vous me lirez, le sera aussi.
Lazare, mon très fidèle Lazare, est mort.
Il a été surpris alors qu'il flairait une piste à la recherche d'une pièce d'armure. Maudit soit ce fantôme, qui est venu hanter nos esprits, et maudits soient ces grawls stupides...

Nulle magie ne le fera revenir, ainsi en ais je décidé. Une seule agonie est bien suffisante et Lazare appartenait à un monde où la magie n'est pas monnaie courante et où est la mort est réelement une fin.

Je comprends mieux à présent ce que vous redoutiez, quand vous évoquiez à mi-voix, mon potentiel magique. On peut réaliser bien des choses avec la magie, en dépit de considérer que cela soit juste ou non.

Sans doute auriez-vous fait un autre choix que moi.

Que n'ais-je été égoïste de l'emmener avec moi... Cette décision, ce monde, cette guerre cruelle n'impliquait que moi. Il eut dû rester à vos côtés, loin de toute cette barbarie. J'ai été irresponsable...

Malgré mon affliction, je me dois de poursuivre la voie que je me suis traçée. J'ai fait la connaissance d'un religieux dénommé Nanu, un guérisseur divin, que je dois, dès demain, rejoindre à Surmia. Et, plus encore que ses soins, en cette heure triste, sa sympathie m'est précieuse.

Il eut pu d'ailleurs, affirme-t-il, sauver Lazare, si nous ne nous étions pas séparés afin d'améliorer nos chances de retrouver les pièces de cette maudite armure.

Je vous promets de faire payer aux grawls et aux charrs plus de mille fois la mort de Lazare.

Au revoir, cher ami, au regret de vous porter de si mauvaises nouvelles, si du moins, vous les recevez.

Comme d'habitude encore superbe,

j'attends la suite:)

Ouais c'est excellent !

Nanu pointe son nez ca va devenir marrant ^^

Et... y a un peu de véridique (même beaucoup) dans cette histoire... faut pas croire

hihihiii j'me rappelle de cette coop ^^

*mode sadique activé*
On s etait bien marré qd Lazare s est fait dechiqueté par les grawls! Tu te rappelles, yavait des bouts d oreilles, de papattes qui volaient ds ts les sens?!
*mode sadique desactivé*

Vi, c etait la premiere fois qu on se rencontrait
*a une 'tite larme melancholique a l oeil*

Bon allez mes examens se terminent bientôt, ...
Puis j'ai relu un peu tout ça...
Et je me dis qu'il faudrait sérieusement que je m'y remette.
Mais je vais peut être aborder tout ça d'une manière différente.

Un nouveau tournant comme qui dirait.